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Paris
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Un lieu infini d’art, de culture et d’innovation.

Situé dans le 19e arrondissement, le CENTQUATRE-PARIS est un espace de résidences, de production et de diffusion pour les publics et les artistes du monde entier. Pensé par son directeur José-Manuel Gonçalvès et ses équipes comme une plateforme artistique collaborative, il donne accès à l’ensemble des arts actuels, au travers d’une programmation résolument populaire, contemporaine et exigeante. Lieu de vie atypique jalonné de boutiques, il offre également des espaces aux pratiques artistiques libres et à la petite enfance. Pour les start-ups qui intègrent son incubateur, il constitue un territoire d’expérimentation unique, à la croisée de l’art et de l’innovation. Avec une approche d’urbanisme culturel, son équipe d’ingénierie livre une expertise unique pour des projets culturels et artistiques innovants à travers le monde.

Présentée du 29 mai au 1er août, ÉNERGIES DÉSESPOIRS — Un monde à réparer avec Encore Heureux, Bonnefrite et l'École Urbaine de Lyon est un dispositif qui présente des mondes qui s’effondrent et d’autres qui sont reconstruits et réparés collectivement. Cette exposition explore deux versants de notre planète en mouvement : les données scientifiques de l’Anthropocène qui documentent la crise de l’habitabilité de la Terre, et les initiatives contemporaines à différentes échelles qui esquissent une réparation à l'œuvre.

Sur une invitation de José-Manuel Gonçalvès - directeur artistique du CENTQUATRE-PARIS, le dispositif spécialement conçu et réalisé pour l’exposition prend la forme d’un ensemble de 120 tableaux grand format peints par l’artiste Bonnefrite et qui se répartissent dans les 1 000 m2 de halle Aubervilliers. Aux 60 peintures de désespoirs en noir et blanc répondent 60 peintures d’énergies en couleur, disposées dos à dos. Chaque peinture est accompagnée d’un court texte qui complète l’image avec des indications quantitatives et des mises en perspective.

« L’exposition ÉNERGIES DÉSESPOIRS s’inscrit pleinement dans la démarche que nous avons depuis le début : à partir d’un sujet de société complexe, l’Anthropocène, on a d’abord un message délivré par les peintures de Bonnefrite. Notre contribution, c’est évidemment un espace d’ampleur que nous mettons à disposition et les publics qui y sont associés, et c’est aussi d’avoir veillé à ce principe d’émotion esthétique et plastique avant tout. Ce n’était pas tout à fait ainsi au début de l’histoire, nos fréquents échanges avec Julien Choppin et Nicola Delon ont permis cette évolution. Nous sommes passés d’une exposition très pédagogique à une exposition d’Art engagé, où l’Art constitue tout à la fois le véhicule et l’aboutissement d’une pensée qui se devait éloquente et impactante. Finalement l’équipe a travaillé dans une recherche action, où la recherche et l’action se déroulaient dans un espace temps unique, comme au théâtre en somme. Sous sa forme scénographiée l’exposition créé une dramaturgie, une dramaturgie d’ailleurs annoncée comme un texte shakespearien avec ce titre très fort ÉNERGIES DÉSESPOIRS. » José-Manuel Gonçalvès, directeur du CENTQUATRE-PARIS

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